JOUR 3 – 14 OCTOBRE 2021
ANNULÉ SESSION 11
SESSION 12 Session interactive sur LA PRISE EN CHARGE
Cette session est l’occasion de découvrir le travail en cours des différentes équipes. Elle permettra d’interagir, de discuter, de trouver un nouveau potentiel de collaboration, et de favoriser les échanges. Elle comprend six courtes présentations par des membres et des stagiaires du CCNV sur la recherche liée à la prise en charge de la démence et de la santé. Les présentations seront suivies d’une discussion avec l’auditoire.
- La translation clinique d’anticorps ciblant le repliement erroné des protéines – Neil Cashman
- Opinion des aidants sur l’utilisation des véhicules automatisés dans le but de prolonger la période de conduite automobile sécuritaire des personnes atteintes de démence – Shabnam Haghzare
- TRIC-VCI, un essai de phase IIa sur le conditionnement ischémique à distance pour le traitement du TCV – Eric Smith
- Investigation des inégalités d’utilisation des services de santé par les personnes atteintes de démence; le rôle du sexe, de la ruralité et du statut socio-économique – Isabelle Vedel, Claire Godard-Sebillotte et Geneviève Arsenault-Lapierre
- L’importance de la santé sensorielle pour le vieillissement cognitif – Walter Wittich
- Ajouter ne fait qu’empirer la situation : de l’importance de la fragilité et de la déprescription – Shanna Trenaman et Melissa Andrew
MODÉRATRICE : Melissa Andrew
Regardez la présentation enregistrée ici (en anglais seulement):
SESSION 13 PANEL – Souligner l’importance de l’engagement pour les soins résidentiels de longue durée
Dans cette session, des chercheurs, un stagiaire et un membre du groupe consultatif du programme Participation des personnes touchées par une maladie cognitive discuteront de l’importance de l’engagement dans la vie de personnes qui vivent dans les établissements de soins de longue durée, de l’impact des restrictions qui ont évolué pendant la pandémie de COVID-19 sur les résidents, leurs partenaires de soins et leurs familles, ainsi que des stratégies qu’ils ont développées pour faciliter la prise en charge de ces restrictions.
MODÉRATRICE : Katherine McGilton
PANÉLISTES : Colleen Maxwell, Emma Conway, Jennifer Bethell, Wayne Hykaway
Regardez la présentation enregistrée ici (en anglais seulement):
SESSION 14 PANEL – Équité, diversité et inclusion du vécu dans la recherche sur la démence : le chemin parcouru et la route à prendre
Être atteint de démence et s’occuper d’un être cher atteint de démence présente de multiples défis. Pour les personnes qui risquent la discrimination en raison de leur race, origine ethnique, orientation sexuelle, identité de genre et autres concepts sociaux, cette expérience présente des difficultés uniques. Dans ce panel, des personnes ayant une expérience personnelle de ce genre, ainsi qu’avec la recherche sur la démence et une expertise en défense des personnes atteintes de démence, partageront leurs point de vue et leurs connaissances, à la fois personnelles et professionnelles. À mesure que les agences de financement augmentent la demande d’implication significative de personnes ayant un vécu dans la recherche, il faut s’assurer que les expériences qui alimentent la recherche couvrent un large éventail de voix.
MODÉRATEUR : Walter Wittich
PANÉLISTES : Pamela Roach, Jason Flatt, Ngozi Iroanyah, Karen Myers Barnett, Nabina Sharma
Regardez la présentation enregistrée ici (en anglais seulement):
SESSION 15 SOIRÉE INVITATION DES PARTENAIRES
BIOGRAPHIES
SESSION 11 – annulée
SESSION 12
Melissa K. Andrew est professeure de médecine et de gériatrie au Queen Elizabeth II Health Sciences Centre à Halifax. Elle a fait ses études de maîtrise en santé publique à la London School of Hygiene and Tropical Medicine sur une bourse du Commonwealth et a terminé son Ph. D. en études interdisciplinaires à l’Université Dalhousie sur le sujet de la fragilité et la vulnérabilité sociale des personnes âgées. Dans le cadre de l’équipe 14 du CCNV, elle étude la fragilité et la multimorbidité en rapport avec la démence. Au sein du Réseau canadien de recherche sur l’immunisation, elle étudie l’impact de la fragilité sur l’efficacité des vaccins, le fardeau de la maladie et les issues cliniques des maladies infectieuses, y compris la grippe, la COVID-19 et le zona chez les personnes âgées. Elle est membre du conseil de la Société Alzheimer de la Nouvelle-Écosse depuis plus d’une décennie, présidente de son comité consultatif sur la recherche et était membre du comité consultatif de la stratégie sur la démence de la Nouvelle-Écosse.
Shabnam Hagnzare est candidate au doctorat de l’Institute of Biomedical Engineering de l’Université de Toronto, boursière de deuxième cycle du Schwartz Reisman Institute for Technology and Society et affiliée de troisième cycle à l’Institut Vector en intelligence artificielle. Madame Hagnzare a rejoint récemment l’Institut de recherche en intelligence artificielle Mila comme étudiante en recherche invitée. Sa recherche actuelle est axée sur les processus et systèmes adaptatifs et intelligents pour fabriquer des véhicules automatiques utilisables par les personnes âgées, atteintes ou non de démence, afin de prolonger la période de conduite automobile en toute sécurité.
Dr Eric Smith est professeur de neurologie à l’Université de Calgary où il détient la chaire subventionnée Katthy Taylor en démence vasculaire. Il est clinicien-chercheur pour un programme de recherche qui étudie les contributions vasculaires au déclin cognitif et à la démence, ainsi que la qualité des soins des AVC. En 2016, il a été choisi comme membre du Collège de nouveaux chercheurs et créateurs en art et en science de la Société royale du Canada. Il est directeur médical de la Clinique de neurosciences cognitives à Calgary et membre du Programme de l’AVC de Calgary. Il codirige le Dementia and Cognitive Disorders Neuroteam de l’Hotchkiss Brain institute, qui comprend 24 investigateurs principaux provenant de cinq facultés. Le Dr Smith est auteur ou coauteur de plus de 400 publications évaluées par des pairs et détient un index H de 101 (Google Scholar). Sa recherche utilise la neuroimagerie du cerveau pour diagnostiquer et classer les maladies cérébrales des petits vaisseaux et leur contribution au risque de neurodégénérescence.
Isabelle Vedel est docteure en santé publique et professeure adjointe au Département de médecine familiale à l’Université McGill. Elle est cofondatrice et directrice scientifique de l’équipe de recherche pan-canadienne ROSA (Recherche en organisation des services sur l’Alzheimer) – Équipe 19 du CCNV. Les travaux de recherche de Dr Vedel portent sur la mise en œuvre, l’évaluation et l’organisation des services de soins de santé primaires pour les personnes atteintes de démence en utilisant des méthodes mixtes (revue de dossiers, sondages, entrevues, groupes de discussion, analyse de bases de données administratives). Dre Vedel est responsable de l’évaluation du Plan Alzheimer Québec et a participé en tant qu’experte de l’Académie canadienne des sciences de la santé au développement de la stratégie nationale sur la démence
Claire Godard-Sebillotte est professeure adjointe à la Division de gériatrie du Département de médecine de l’Université McGill et est gériatre au Centre universitaire de santé McGill (CUSM). Elle est récemment diplômée de l’Université McGill avec un Ph. D. en recherche sur les services de santé en soins primaires et santé familiale sous la supervision de la Dre Isabelle Vedel. Sa recherche se concentre sur la trajectoire de soins des personnes âgées vulnérables, y compris celles atteintes de troubles neurocognitifs majeurs, et, en particulier, sur la façon de prévenir leur hospitalisation éventuelle. Son objectif est d’apporter des preuves aux décideurs afin qu’ils puissent mettre en place des politiques informées pour améliorer la santé et la qualité de vie des personnes âgées vulnérables et de leurs aidants.
Geneviève Arsenault-Lapierre détient un Ph. D. en neurosciences de l’Université McGill sur la maladie d’Alzheimer. En 2013, elle a rejoint la Dre Isabelle Vedel pour mettre sur pied une équipe pancanadienne de recherche sur l’organisation des services de santé pour la maladie d’Alzheimer (ROSA). Ces dernières années, en sa capacité d’associée de recherche principale, elle a développé un programme de recherche axé sur les différences géographiques dans l’organisation et l’utilisation des soins et des services de santé pour et par les personnes atteintes de troubles neurocognitifs majeurs.
Walter Wittich est professeur agrégé à l’École d’optométrie de l’Université de Montréal au Canada. Sa recherche est axée sur la réhabilitation des personnes âgées ayant une perte combinée de vision et d’audition. Après sa maîtrise en psychologie de l’Université Concordia et un Ph. D. en neuroscience visuelle de l’Université McGill, il a terminé une bourse postdoctorale en audiologie à l’Université de Montréal. Issu d’un milieu de perte de vision liée à l’âge, il mène désormais une recherche sur la double déficience sensorielle et la surdicécité acquise. Ses domaines de recherche comprennent les sciences sensorielles de base, ainsi que les approches médicales, psychosociales et de réhabilitation pour la perte sensorielle. Il a publié plus de 100 articles évalués par des pairs. Dr Wittich est président inaugural du Deafblind International Research Network, président de l’axe Déficience visuelle et réadaptation du Réseau de recherche en santé de la vision au Québec, membre de l’American Academy of Optometry et le premier thérapeute en basse vision certifié au Québec.
Shanna Trenaman est boursière postdoctorale en médecine gériatrique du programme de bourses de recherche universitaire en médecine interne de l’Université Dalhousie. Elle a obtenu son B. Sc. en pharmacie, sa maîtrise en recherche appliquée sur les services de santé (MAHSR) et son Ph. D. à l’Université Dalhousie. Elle est résidente agréée en pharmacie au Canada ayant terminé sa résidence en pharmacie hospitalière au Queen Elizabeth II Health Sciences Centre en 2009. Madame Trenaman est pharmacienne licenciée et pratique à titre de pharmacienne hospitalière en Nouvelle-Écosse. En tant que clinicienne-chercheuse, sa recherche aborde le sujet de l’usage approprié de médicaments chez les personnes âgées du point de vue de la recherche en pharmacologie, en épidémiologie, en pharmacoépidémiologie et en services de santé, et comprend toujours une optique d’analyse reposant sur le sexe et le genre. L’intérêt actuel de madame Trenaman porte sur les médicaments anticholinergiques et leur influence potentielle sur le développement des neuropathologies liées à la démence.
SESSION 13
Katherine S. McGilton (IA, Ph. D., MACSS) est chargée de recherche appliquée, chercheuse en chef à l’Institut de réadaptation du Réseau universitaire de santé de Toronto et professeure à la Faculté de sciences infirmières Lawrence S. Bloomberg de l’Université de Toronto. Sa recherche est subventionnée à titre d’investigatrice principale par les Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC), la Société Alzheimer du Canada et le Ministère de la Santé de l’Ontario. Elle a été intronisée dernièrement dans l’Académie canadienne des sciences de la santé pour son travail dans le domaine du vieillissement. Elle codirige actuellement le thème Qualité de vie du Consortium canadien en neurodégénérescence associée au vieillissement (CCNV). Les résultats de son programme de recherche ont mené à des innovations dans les modèles de soins, ont été positifs pour les personnes âgées et le personnel dans les environnements de soins de longue durée et de réadaptation, et ont été traduits en protocoles qui guident la prestation de soins dans ces milieux.
Colleen Maxwell est professeure et titulaire de chaire de recherche universitaire dans les écoles de pharmacie et de sciences de la santé publique de l’Université de Waterloo (https://uwaterloo.ca/pharmacy), chercheuse principale auxiliaire avec l’ICES à Toronto (https://www.ices.on.ca), professeure auxiliaire en sciences de la santé communautaire à l’Université de Calgary et à l’IHPME de l’Université de Toronto. Elle est chercheuse en chef en services de santé avec une expertise en vieillissement, en fragilité, en soins continus et en pharmacoépidémiologie. Ses intérêts de recherche comprennent la qualité des soins et la pharmacothérapie des populations âgées à risque à travers le continuum de soins, en particulier, ceux atteints de troubles neurodégénératifs et psychiatriques. Elle est impliquée dans la recherche collaborative nationale et internationale sur les besoins en santé et en qualité de soins des résidents âgés dans les milieux d’aide à la vie autonome, de soins à domicile et de soins de longue durée. Madame Maxwell était auparavant responsable du Programme de formation et renforcement des capacités et membre du Comité exécutif de la recherche du Consortium canadien en neurodégénérescence associée au vieillissement.
Emma Conway est candidate au doctorat à l’École de santé publique et des systèmes de santé, Programme vieillissement, santé et bien-être, à l’Université de Waterloo. Sa recherche est axée sur les méthodes de co-conception et de recherche participative avec les personnes atteintes de démence, la famille et les amis partenaires de soins, et les prestataires de soins de santé et sociaux. Par cette recherche, madame Conway œuvre à identifier des méthodes de recherche inclusives qui peuvent améliorer l’engagement envers la recherche de la part de personnes atteintes de démence.
Jennifer Bethell est scientifique affiliée au KITE, Institut de réadaptation de Toronto, Réseau universitaire de santé. Elle est co-responsable du programme Engagement des personnes ayant une expérience de la démence (EPLED) du CCNV avec Kathy McGilton. En tant qu’épidémiologiste, elle s’intéresse à l’utilisation de méga bases de données administratives et de sondages sur la santé pour la recherche et les rapports sur les résultats de santé. À ce jour, son travail s’est concentré sur des sujets liés à la santé mentale, aux blessures et à la prise de médicaments sur ordonnance ainsi que sur les effets de ceux-ci sur la santé. Elle s’intéresse également à la relation entre la connexité sociale et la santé chez les adultes âgés.
Wayne Hykaway réside actuellement à Calgary, en Alberta au Canada, et a des antécédents d’éducateur au niveau collégial et universitaire sur le développement et l’enseignement de cours en informatique, sur les affaires et sur le Web. Sa femme a reçu un diagnostic de démence en 2014 et a déménagé dans un établissement de soins de longue durée en 2018. Pendant cette période, monsieur Hykaway est devenu partenaire de soins à long terme et a même déménagé dans le même établissement que sa femme. En plus de s’occuper d’elle, il a contribué à la communauté de l’établissement en se joignant au Conseil des résidents et des familles et en mettant sur pied un Café conversation pour entrer en contact avec les autres résidents atteints de démence. Il a également parlé pour Alberta Innovates et participé au projet PRIHS 4, au projet PRIHS 6, au projet CARES de Gordie Howe et à divers groupes de défense des personnes atteintes de démence et des personnes âgées. Il a rejoint le programme Participation des personnes touchées par une maladie cognitive du CCNV en juin 2020 et ses intérêts de recherche comprennent la maladie d’Alzheimer, les soins de longue durée et la prestation de soins.
SESSION 14
Pamela Roach est professeure adjointe en médecine familiale et en sciences de la santé communautaire à l’Université de Calgary et directrice, enseignement sur la santé des Autochtones à l’Office de la santé autochtone, locale et mondiale de l’École de médecine Cumming. Elle est chercheuse en santé au niveau doctoral et membre de la Métis Nation of Alberta et a travaillé dans divers milieux de soins de santé universitaires et communautaires au Canada et au Royaume-Uni au cours des 17 dernières années. Sa recherche est axée sur la santé des Autochtones, la santé cérébrale et la démence dans la population mal desservie, et le développement d’interventions éducatives antiracistes.
Jason Flatt est professeur adjoint à l’Université du Nevada à Las Vegas, École de Santé publique, Programme de Santé sociale et comportementale. Sa recherche vise à mieux comprendre les besoins en santé et en soins de santé des personnes âgées des minorités sexuelles et de genre (LGBTQIA+) atteintes de la maladie d’Alzheimer et des démences apparentées, ainsi que leurs partenaires de soins. Monsieur Flatt obtenu une bourse de carrière (K01) des National Institutes of Health (NIH) sur l’épidémiologie de la maladie d’Alzheimer et des démences apparentées chez les minorités sexuelles et de genre. Il est co-investigateur principal pour une étude pilote du Réseau collaboratif de centres de recherche du NIA qui explore la cognition et les tendances liées au genre de trois générations d’Américains. Il fut boursier du Centre de ressources en recherche sur le vieillissement des minorités des NIH et du Butler Williams Scholars Program. Il a plus de 35 publications à son actif dans le domaine du vieillissement, de la démence et de la santé des minorités sexuelles et de genre. Monsieur Flatt a également reçu en 2020 le prix Sexual and Gender Minority Early Career Investigator des NIH.
Ngozi Iroanyah est étudiante en doctorat de quatrième année en études sur la politique et l’équité en matière de santé à l’Université de York. Sa recherche est axée sur les expériences de personnes âgées racisées pendant la démence. Son intérêt pour les personnes âgée racisées atteintes de démence découle de sa propre expérience comme aidante pour son père, un citoyen nigérien qui a reçu un diagnostic de démence à l’âge de 69 ans. Son cheminement et celui de sa famille pour naviguer l’univers de la démence en Ontario l’ont inspirée à vouloir comprendre et soutenir d’autres familles qui vivent des expériences similaires.
Madame Iroanyah travaille actuellement comme coordonnatrice d’engagement communautaire à la Société Alzheimer du Canada où son travail est axé sur l’établissement de relations avec les communautés plus vulnérables à la démence et s’engage en promotion de la santé, en déstigmatisation de la démence et en participation à la recherche. Elle espère contribuer à la recherche sur la démence par un travail qui souligne les voix et les points de vue de ceux qui ne sont pas entendus habituellement.
Karen Myers Barnett habite actuellement à Orangeville en Ontario et a eu une longue carrière de travailleuse sociale. Elle a étudié le travail social à l’Université Ryerson et l’aide et le développement communautaire au Sheridan College et sa pratique est anti-oppressive. Elle a travaillé auparavant dans un foyer de groupe, Peel Memorial, comme préposée psychiatrique et, plus récemment, avec des hommes sans abri à Seaton House où elle a aidé à créer un programme de loisirs pour tous les résidents, y compris ceux qui recevaient des soins à long terme et qui participaient au programme connexe de consommation contrôlée d’alcool. Sa mère, Celestine, a reçu un diagnostic de démence en 2013, mais était symptomatique depuis plusieurs années. Madame Myers aide son père dans son rôle d’aidant et défend les droits des personnes atteintes de démence. Elle a rejoint le programme Participation des personnes touchées par une maladie cognitive du CCNV en juin 2020 pour s’assurer que des personnes au stade précoce et des minorités visibles dynamiques soient représentées.
Nabina Sharma est étudiante en doctorat dans le programme interdisciplinaire de santé rurale et du Nord de l’Université Laurentienne. Elle a obtenu une maîtrise en santé publique au Népal et a travaillé pendant plus de cinq ans comme professionnelle en santé publique. Madame Sharma est stagiaire au CCNV dans l’équipe 18 – Santé cognitive pour les populations autochtones, sous la supervision de la Dre Jennifer Walker (qui dirige l’équipe 18). La recherche pour son Ph. D. comprend le développement d’un outil d’évaluation fonctionnelle autochtone pour combler le manque d’outil d’évaluation de la fonction cognitive qui soit culturellement approprié pour les populations autochtones au Canada. Cet outil sera le tout premier outil d’information conçu et validé en partenariat avec des représentants des soins autochtones. Ses intérêts de recherche comprennent la recherche avec l’engagement de la communauté, la santé et le vieillissement des Autochtones, la sécurité culturelle, la cognition et la démence. Madame Sharma est la mère d’un garçon de 9 ans. Elle aime le yoga et la randonnée sur les sentiers de Sudbury.