La série Talking Brains du CCNV

La série Talking Brains du CCNV

Résultats de l’essai ENGAGE et prochaines étapes / Nicole Anderson, équipe 10 (en anglais seulement)

Le 3 octobre, 2023

Atelier sur les nouvelles fonctionnalités et l’interrogation des données / Charlie Henri-Bellemare & Camille Beaudoin, LORIS (en anglais seulement)

Le 19 septembre 2023

Matière à réflexion : Le rôle de l’apport alimentaire et du risque nutritionnel dans la santé cognitive des personnes âgées / Alexandra Fiocco, Team 5, (en anglais seulement)

Le 5 septembre 2023

 

Connexions créatives : Le programme de formation CCNV en phase II / Manuel Montero-Odasso et Amanda Duncan, programme Formation et renforcement des capacités, (en anglais seulement)

Le 27 juin 2023

The impact of Canada’s Pivotal Work in Dementia Diagnosis and Care in Primary Care Settings – Will governments and specialist clinicians engage? (L’impact du travail clé du Canada sur le diagnostic et les soins de la neurodégénérescence en milieu de soins primaires – Le gouvernement et les cliniciens spécialistes suivront-ils?) / Jenny Ingram et Geneviève Arsenault-Lapierre, Équipe 19 (ROSA), (en anglais seulement)

Le 13 juin 2023

Le 30 mai 2023

Amyloid clearance by amyloidolytic activity (La clairance amyloïde par activité amyloïdolytique) / Gerhard Multhaup, Équipe 2 (en anglais seulement)

Le 25 avril 2023

Selective immunotherapies for Alzheimer’s disease and synucleinopathies (Immunothérapies sélectives pour la maladie d’Alzheimer et les synucléinopathies) / Neil Cashman, Équipe 3 (en anglais seulement)

 

Le 23 mars, 2023

Une conversation honnête sur l’atteinte d’un engagement significatif avec une diversité de communautés dans la recherche sur la neurodégénérescence (en anglais seulement)

Ce groupe de discussion réunira des chercheurs en neurodégénérescence,

des représentants d’organisations communautaires et des personnes ayant un vécu de maladie neurodégénérative pour se pencher sur :

  • pourquoi il est important d’impliquer une diversité de communautés dans la recherche sur la neurodégénérescence;
  • comment bâtir des relations significatives;
  • les mesures pratiques que les chercheurs peuvent prendre pour aller de l’avant.

Dans cette session interactive, les panélistes partageront leurs expériences et leurs perspectives diverses sur la façon dont les chercheurs en neurodégénérescence peuvent mieux faire pour établir des engagements significatifs et durables avec une diversité de communautés.

L’objectif global de cette session est de réfléchir sur des façons pratiques pour les chercheurs en neurodégénérescence d’orienter la conversation sur la diversité dans leurs programmes de recherche et de mettre en œuvre des actions significatives.

Pour vous inscrire, veuillez cliquer ici.

Nos présentateurs :

Wendy Hulko (Ph. D.) est professeure à la faculté d’Éducation et de Travail social de l’Université Thompson Rivers à Kamloops, en Colombie-Britannique et a travaillé avec des personnes âgées pendant 30 ans comme aide-soignante, travailleuse sociale en milieu hospitalier, conseillère en politiques gouvernementales, éducatrice et chercheuse. Elle détient un baccalauréat ès arts avec distinction en sociologie et en espagnol (Université Trent), une maîtrise en travail social (Université de Toronto) et un Ph. D. en sociologie et politique sociale (Université de Sterling); elle est également affiliée au Centre for Research on Personhood in Dementia de l’Université de Colombie-Britannique et au Critical Dementia Studies Network. En qualité d’universitaire activiste et de colon complice, Wendy mène une recherche interdisciplinaire sur le vieillissement, la neurodégénérescence et les soins de santé auprès de groupes en quête d’équité, y compris les Anciens Secwepemc, les personnes âgées racisées, les minorités de sexe et de genre, et les résidents ruraux. Elle travaille souvent en partenariat avec des praticiens et des décideurs. Elle a publié de nombreux articles dans des revues évaluées par des pairs et édité des livres; elle est corédactrice en chef d’Indigenous peoples and dementia: New understandings of memory loss and memory care, publié par UBC Press en 2019, et coauteure de Gerontological social work in action: Anti-oppressive practice with older adults, their families, and communities chez Routledge Press en 2020.

Karen Myers Barnett habite actuellement à Orangeville en Ontario et a eu une longue carrière de travailleuse sociale. Elle a étudié le travail social à l’Université Ryerson et les relations et le développement communautaires au Sheridan College. Sa pratique est anti-oppressive. Elle a travaillé auparavant comme préposée psychiatrique et a mené un programme de loisirs pour des hommes sans abri à Seaton House ainsi que deux programmes dynamiques d’employabilité pour les sans-abris et pour les jeunes face à de multiples barrières. Sa mère, Celestine, a reçu un diagnostic de démence en 2013, mais était symptomatique depuis plusieurs années. Karen aide son père dans son rôle d’aidant et défend les droits des personnes atteintes de neurodégénérescence. Elle a rejoint le programme Participation des personnes touchées par une maladie cognitive du CCNV en juin 2020 pour s’assurer que des personnes au stade précoce et des minorités visibles dynamiques soient représentées. Sa passion s’étend au soutien d’une activation significative dans les soins, la communauté et à domicile.

 

Ngozi Iroanyah est étudiante en 4année de doctorat en politiques sanitaires et équité à l’Université York. Sa recherche est axée sur l’expérience de personnes âgées racisées sur le parcours de la neurodégénérescence. Son intérêt pour les personnes âgées racisées vivant avec la neurodégénérescence découle de sa propre expérience comme aidante de son père, un citoyen nigérian, qui a reçu un diagnostic de neurodégénérescence à l’âge de 69 ans. Son parcours et celui de sa famille pour naviguer l’espace de la neurodégénérescence en Ontario l’ont inspirée à vouloir comprendre et soutenir d’autres familles vivant une situation similaire. Elle travaille actuellement comme coordinatrice de la participation communautaire à la Société Alzheimer du Canada où son travail est axé sur l’établissement de relations avec les communautés les plus vulnérables à la neurodégénérescence et s’implique dans la promotion de la santé, de la déstigmatisation, de la neurodégénérescence et la participation à la recherche. Elle espère contribuer à la recherche sur la dégénérescence par un travail qui met l’accent sur les voix et les perspectives de ceux que l’on n’entend pas traditionnellement.

Kirstie Creighton est directrice Éducation et Appartenance de la Société Alzheimer de la Nouvelle-Écosse (SANE). Elle travaille avec le personnel, des clients et des membres de la communauté pour garantir que la SANE réponde aux besoins de TOUS les Néo-Écossais sur le parcours de la neurodégénérescence. Elle présente une combinaison d’aptitudes et de formation dans les domaines de l’éducation des adultes, du travail social et du développement international. Kirstie a plus de 30 ans d’expérience en création de partenariats communautaires et en développement de programmes éducatifs à travers le Canada et à l’international. Elle a démontré des aptitudes de collaboration pour concevoir et faciliter des programmes dynamiques qui impliquent les gens dans les processus d’éducation et de transformation des adultes. Kirstie a obtenu une maîtrise en éducation des adultes de l’Université Mount Saint Vincent. Son domaine de recherche était l’éducation multiculturelle essentielle. Elle a également obtenu un baccalauréat en travail social de l’Université Dalhousie et un diplôme en éducation des adultes de l’Université St. Francis Xavier.

 

Le 18 janvier 2023

Comprendre la stigmatisation de la neurodégénérescence pendant la pandémie de COVID-19 : Expérience vécue et recherche sur les médias sociaux (en anglais seulement)

La stigmatisation est un problème critique qui réduit la qualité de vie des personnes qui sont atteintes de neurodégénérescence ainsi que celle de leurs partenaires de soins. Les études démontrent que la stigmatisation peut mener à l’isolement social, à la dépression et à une réduction de la qualité de vie. En dépit de ces connaissances, peu de recherche se penche sur la stigmatisation des personnes atteintes de neurodégénérescence, en particulier dans le contexte de la pandémie de COVID-19. Dans ce webinaire Talking Brains, Juanita-Dawne Bacsu (Ph. D.), Wayne Hykaway et Myrna Norman discuteront de la stigmatisation de la neurodégénérescence pendant la pandémie de COVID-19 en partageant des idées tirées de l’expérience vécue et de la recherche sur les médias sociaux. Ils partageront également des stratégies pour aller de l’avant et aborder la stigmatisation de la neurodégénérescence pendant la pandémie.

Revoyez le webinaire (en anglais seulement):

Nos conférenciers :

Juanita-Dawne Bacsu (Ph. D.) est titulaire de la chaire de recherche du Canada (niveau II) en sciences infirmière et santé de la population et professeure adjointe à l’École de sciences infirmières de l’Université Thompson Rivers. Madame Bacsu est associée de recherche à l’Unité de recherche de la Saskatchewan en santé populationnelle et en évaluation depuis 2009 et est membre du conseil de la Société canadienne de recherche en santé rurale depuis 2011. Auparavant, elle était directrice principale des communications pour le gouvernement provincial, animatrice d’un segment télévisé et copropriétaire d’une clinique de médecine familiale. Ses champs d’intérêt en recherche comprennent le vieillissement en milieu rural, la stigmatisation, la neurodégénérescence, la promotion de la santé cognitive et la politique de santé.

 

Myrna Norman vit avec une maladie neurodégénérative et est porte-parole pour les personnes atteintes de neurodégénérescence et pour les aidants, ce qu’elle considère comme étant très gratifiant. Se porter volontaire et parler de sa propre voix lui ont occasionné beaucoup de plaisir. Elle déclare « en tant que personne atteinte d’une maladie neurodégénérative, ma compréhension des portes négatives et de toutes les portes positives qui peuvent s’ouvrir pour nous, si nous leur en donnons l’occasion, a changé ma vie. Apprendre des leçons à ce stade de ma vie m’a enrichie pendant ce parcours. Nous avons tous la responsabilité d’être heureux et cela vient de l’intérieur. Le soutien, qui n’est pas accessible à tous, façonne des amitiés et un respect des plus intenses l’un pour l’autre. »

Wayne Hykaway habite actuellement à Calgary en Alberta et a des antécédents d’éducateur aux niveaux universitaire et collégial dans la conception et l’enseignement de cours en informatique, en affaires et sur le Web. L’épouse de Wayne a reçu un diagnostic de neurodégénérescence en 2014. Wayne est devenu partenaire de soins à temps plein et a emménagé dans le même établissement de soins à long terme que sa femme jusqu’à son décès en 2021. En porte-parole passionné, Wayne contribue activement à plus de 25 projets axés sur la neurodégénérescence, les soins à long terme et la santé des aînés. Il siège au Comité technique sur les soins à long terme de l’Organisation des services de santé, au groupe consultatif de Mobilisation démence Canada, au projet PRIUS 4 (AHS) et au groupe consultatif Participation des personnes touchées par une maladie neurocognitive (EPLED) du Consortium canadien en neurodégénérescence associée au vieillissement (CCNV), pour ne citer que ceux-là. Wayne collabore à des projets de recherche avec 6 universités canadiennes et est coauteur de 4 articles publiés. Ses champs d’intérêt en recherche comprennent notamment la maladie d’Alzheimer, les soins à long terme et la prestation de soins.

30 novembre, 2022

Cohésion, chez-soi et enjouement (Cohesion, At-homeness and Playfulness ou CAP) : Un modèle localisé pour la prévention du déclin cognitif dans la communauté

(en anglais seulement)

À mesure que la durée de vie augmente, un nombre croissant de personnes âgées vieilliront dans leur quartier, ce qui en fait un lieu important pour la prévention du déclin cognitif. Mais où commencer? Le modèle CAP rassemble des théories de psychologie communautaire, de gérontologie environnementale et d’ergothérapie pour informer les interventions de santé publique contextuelles. Ce modèle a été testé dans le cadre d’une étude comparative. Les variables du modèle CAP se sont avérées être des mécanismes d’action efficaces pour la santé du cerveau. Une trousse à outils de prescription sociale de précision, prête au déploiement, est disponible. Ensemble, ils guident la mise en place d’interventions préventives ciblées dans la communauté et pourraient attirer plus de participants pour vos prochaines études d’efficacité ou de mise en œuvre.

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Notre conférencière:

Daniel R. Y. Gan, Ph. D. (Université nationale de Singapour), est un boursier des IRSC en recherche et transfert des connaissances sur le logement et la santé en milieu urbain à l’Université Simon Fraser. Il a gagné le Prix d’excellence en recherche sur le vieillissement de l’Institut du vieillissement des IRSC en 2021. En tant que chercheur communautaire et colon inattendu dans les magnifiques territoires non cédés des peuples salish de la côte, Daniel reconnaît son endettement envers les nombreuses personnes avec lesquelles il travaille assidûment pour le bien-être de la communauté.

15 août, 2022

L’identification des stades de la maladie d’Alzheimer in vivo

(en anglais seulement)

Pendant de nombreuses années, la maladie d’Alzheimer (MA) était associée au stade de démence de la maladie, l’aboutissement d’un processus physiopathologique qui dure environ deux décennies. Tandis que les systèmes de détection des stades précoces de la maladie se concentraient sur le fonctionnement clinique, les études sur les biomarqueurs en imagerie cérébrale par tomographie à émission de positons (TEP) et dans le liquide cérébrospinal (LCS) soulignaient la longue phase préclinique de la MA. Cette conférence expliquera comment la prolifération récente de biomarqueurs de la MA en imagerie et dans le LCS permet de déterminer plusieurs stades biologiques chez l’être humain de son vivant.

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Notre conférencière:

Joseph Therriault est un étudiant au niveau doctorat en neurosciences qui travaille avec Pedro Rosa-Neto à l’Université McGill. Sa recherche est axée sur l’utilisation de biomarqueurs pour caractériser la phase préclinique de la maladie d’Alzheimer, qui est la période où les interventions thérapeutiques ont les plus grandes chances de succès. Plus particulièrement, son travail utilise les biomarqueurs en TEP pour comprendre l’histoire naturelle de la maladie d’Alzheimer, ainsi que pour mieux comprendre l’hétérogénéité de la maladie. Il est récipiendaire de la distinction « 30 moins de 30 ans » du magazine Forbes dans la catégorie soins de santé.

 

26 mai 2022  L’engagement et la gouvernance des données autochtones dans la pratique

(en anglais seulement)

Les Autochtones ont le droit de contrôler la collecte, la propriété, la dissémination et l’utilisation de leurs données. Cela comprend le droit d’utiliser les données autochtones de façons qui respectent et qui reflètent la vision du monde et l’approche à la recherche des Autochtones. Ce webinaire donnera aux participants une compréhension des principes de gouvernance clés des données autochtones pour soutenir la recherche autochtone, ainsi que des exemples de projets de recherche communautaires qui soulignent les forces de l’engagement autochtone et de solides modèles de gouvernance des données. Ce webinaire comprendra des présentations de conférenciers suivies de questions de la part de l’auditoire.

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Nos conférenciers :

Robyn Rowe est mère de quatre enfants, membre de la Première Nation Matachewan et membre héréditaire de Teme Augama Anishnabai. Mme Rowe est membre exécutive de l’Alliance mondiale pour les données autochtones (http://www.gida-global.org) et a été impliquée dans la cocréation des principes CARE pour la gouvernance des données autochtones avec des érudits autochtones du monde entier par l’entremise de l’International Indigenous Data Sovereignty Interest Group qui fait partie de la Research Data Alliance (www.rd-alliance.org). Mme Rowe est également responsable de l’équipe de données autochtones du Réseau de recherche sur les données de santé du Canada (www.HDRN.ca) et scientifique du personnel de l’IRSS (www.ICES.on.ca). Le travail de Mme Rowe recoupe les domaines de la santé et des politiques autochtones, de la gouvernance et de la souveraineté des données autochtones, et de la justice sociale et environnementale. Les efforts de recherche continue de Mme Rowe se concentrent sur la décolonisation des environnements de données sur la santé par le biais de l’affirmation des droits et des intérêts inhérents des Autochtones.

Jennifer Walker est membre Haudenosaunee de la bande Six Nations de Grand River et détient un Ph. D. en sciences de santé communautaire (épidémiologie) de l’Université de Calgary. Elle est professeure agrégée à l’Université McMaster au département des méthodes de recherche en santé, preuves et impact. Les travaux de madame Walker se concentrent principalement sur la recherche en santé dans les communautés autochtones en se servant des grosses bases de données des services de santé auxquelles elle a accès à titre de scientifique principale et de responsable de la Santé autochtone à l’Institut de recherche en services de santé en Ontario et du Réseau de recherche sur les données de santé du Canada. Madame Walker mène un programme de recherche actif dans la communauté sur le vieillissement et les maladies neurodégénératives. Elle est coresponsable de l’équipe 18 – Santé cognitive pour les populations autochtones du Consortium canadien en neurodégénérescence associée au vieillissement (CCNV) et est responsable de l’Indigenous Cognitive Health Program. Elle a également mené l’évaluation de l’outil Canadian Indigenous Cognitive Assessment et sa mise en œuvre dans les communautés Anishinabek du nord de l’Ontario.

29 mars 2022 Communiquer au sujet des médicaments et des autres traitements de façon significative avec les personnes vivant avec une maladie neurodégénérative

(en anglais seulement)

Cette présentation décrira une approche (1) pour communiquer les risques et les avantages potentiels associés aux différents traitements et aux médicaments, et (2) permettre aux personnes ayant une expérience vécue à prendre des décisions éclairées sur les choix de traitements et de médicaments. Notre discussion sera codirigée par une personne ayant une expérience vécue qui soulignera les considérations importantes dans sa prise de décision en matière de traitement.

Revoyez le webinaire (en anglais seulement):

Nos conférenciers :

Sharon E. Straus est gériatre et épidémiologiste clinique et a suivi sa formation à l’Université de Toronto et à l’Université d’Oxford. Elle est directrice du Knowledge Translation Program et médecin-chef de l’hôpital St Michael, ainsi que professeure au Département de médecine de l’Université de Toronto. Elle est titulaire de la Chaire de recherche du Canada de niveau 1 sur l’application des connaissances et la qualité des soins et est l’auteure de plus de 500 publications évaluées par des pairs et de 3 manuels sur la médecine reposant sur des preuves, le transfert des connaissances et le mentorat. Depuis 2015, elle s’est maintenue dans le 1 % supérieur des chercheurs cliniques les plus cités selon Clavirate et détient un index H de 106. Elle totalise plus de 60 millions de dollars de subventions de recherche évaluées par des pairs en tant qu’investigatrice principale. Elle a reçu des récompenses nationales pour son mentorat, sa recherche et son enseignement. Ell a été admise comme membre de la Société royale du Canada en novembre 2021.

 

Jennifer Watt est gériatre et scientifique chez Unity Health Toronto. Sa recherche se concentre sur la compréhension des bénéfices et des effets néfastes comparés des interventions médicamenteuses et non médicamenteuses chez les personnes atteintes de maladies neurodégénératives et sur l’amélioration de leur expérience de soins.

 

Roger Marple vit à Medicine Hat, en Alberta, et est le fier père et grand-père de 3 enfants adultes et d’un petit-fils. Il est un fervent adepte de sport, aime jouer au tennis et au golf, adore voyager et est à l’aise dans la cuisine où il a un réel appétit pour la boulangerie et la pâtisserie. M. Marple a travaillé pour Alberta Health Services en gestion d’approvisionnement dans la zone sud pendant plus de 23 ans. Il est également atteint de maladie d’Alzheimer à début précoce. M. Marple a été invité à se joindre au groupe consultatif de la Société Alzheimer du Canada pour développer la sensibilisation aux besoins des personnes atteintes de maladies neurodégénératives, y compris les besoins propres aux personnes atteintes de maladies neurodégénératives à début précoce. Il siège également au conseil d’administration de l’Alzheimer’s Society of Alberta and North West Territories et soutient activement la recherche sur les maladies neurodégénératives au Canada. Depuis son diagnostic au cours de l’été 2015, M. Marple s’est donné comme mission de dissiper les mythes au sujet de la maladie et le stigma associés à la démence. Il croit fermement que l’on peut bien vivre avec cette maladie en dépit des défis et partage son message d’espoir avec passion.

WEBINAIRES TERMINÉS

19 janvier 2022

Transfert des connaissances reposant sur les arts : Piece of Mind

(en anglais seulement)

Piece of Mind (Un peu d’esprit) est un projet de transfert des connaissances reposant sur les arts qui regroupe des chercheurs scientifiques, des artistes du spectacle, des aidants et des personnes atteintes de démence ou de la maladie de Parkinson pour créer ensemble des spectacles reposant sur la recherche scientifique et l’expérience vécue. Nos objectifs sont 1) d’utiliser les arts du spectacle pour faciliter le transfert de connaissances et l’empathie entre les participants au projet et 2) d’engager un vaste auditoire au niveau intellectuel et émotif. La présentation de madame Naila Kuhlmann se concentrera sur le projet abordant la démence, en particulier le processus collaboratif, le spectacle résultant et les documents supplémentaires, ainsi que les étapes suivantes. La présentation sera plutôt interactive. Les commentaires sur le spectacle et les idées d’amélioration sont bienvenus.
Si vous voulez visionner le spectacle ou l’une des vidéos “revers du décor”, vous les trouverez sur le canal Youtube Piece of Mind.

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Notre conférencière :

Dre Naila Kuhlmann est boursière postdoctorale à l’École de physiothérapie et d’ergothérapie de l’Université McGill, sous la supervision conjointe des professeures Stefanie Blain-Moraes et Aliki Thomas. Madame Kuhlmann détient un doctorat en neurosciences de l’Université de la Colombie-Britannique où elle a étudié la neurobiologie de la maladie de Parkinson sur un modèle murin. Au long de ses études, elle est devenue de plus en plus impliquée dans des initiatives de communication scientifique et de vulgarisation et dans l’exploration de l’intersection fascinante entre les sciences et les arts. Sa recherche postdoctorale combine ses divers intérêts afin de faciliter le transfert de connaissances et d’amorcer la conversation sur les affections neurodégénératives.

21 juillet 2021

Les biomarqueurs en recherche et dans les soins: les applications et les implications

Que sont les biomarqueurs et que représentent-ils pour les personnes atteintes de démence ? Comment les biomarqueurs sont-ils utilisés dans la recherche sur les troubles neurocognitifs et les soins cliniques ? Quels sont les avantages potentiels et les limites de l’utilisation des biomarqueurs ? Et quel est leur impact sur le « monde réel » ? Rejoignez-nous pour une conversation unique, réunissant la découverte et l’utilisation des biomarqueurs.

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Nos conférencières :

Emily Dwosh détient un baccalauréat en éducation de l’Université McGill ainsi qu’une une maîtrise en conseil génétique de l’Université de la Colombie-Britannique (UBC). Elle travaille comme conseillère en génétique à la UBC Hospital Clinic for Alzheimer Disease and Related Disorders (UBCH-CARD) depuis 2001, fournissant de l’éducation et du soutien aux patients et aux familles qui s’adaptent aux diagnostics de la maladie d’Alzheimer (MA), de démence frontotemporale (FTD), et d’autres troubles neurocognitifs. Elle est professeure adjointe de clinique au département de génétique médicale de l’UBC et a co-écrit plusieurs articles de revues évalués par des pairs concernant la MA et la DFT familiales.

 

Dre Carmela Tartaglia est professeure agrégée à l’Université de Toronto et neurologue cognitivo-comportementale à la Clinique de la mémoire de l’UHN où elle voit des patients atteints de maladies neurodégénératives et de symptômes persistants de commotion cérébrale. Elle est chercheure au Centre de recherche Tanz sur les maladies neurodégénératives où elle utilise une approche multimodale pour la découverte de biomarqueurs afin de faciliter la détection précoce des maladies neurodégénératives, y compris l’encéphalopathie traumatique chronique.  Dre Tartaglia s’intéresse notamment au rôle de la commotion cérébrale dans la démence. Le but ultime de ses travauxe est de développer des biomarqueurs pour la détection précoce de la maladie . Elle est titulaire de la Chaire Marion et Gerald Soloway en recherche sur les lésions cérébrales et les commotions cérébrales. Elle est membre du conseil d’administration de la Société Alzheimer de Toronto et au comité consultatif scientifique de PSP Canada, de Brain Injury Canada et du Women’s Brain Project.

Dre Julie Robillard (animatrice) est professeur adjoint de neurologie à l’Université de la Colombie-Britannique (UBC), chercheure en partenariat avec les patients au BC Children’s and Women’s Hospital (C&W) et membre du corps professoral de Neuroethics Canada. Elle dirige le laboratoire Neuroscience, Engagement and Smart Tech (NEST), où ses recherches portent sur le développement et l’évaluation de technologies pour le maintien de la santé cérébrale. Dre Robillard occupe plusieurs postes de direction aux niveaux provincial, national et international : elle est présidente du programme Implications éthiques, juridiques et sociales du CCNV, vice-présidente du comité exécutif de la technologie et de la démence de l’International Society to Advance Alzheimer’s Research and Treatments, et responsable du programme d’éthique et de pratique pour AGE-WELL, entre autres.

 

8 avril 2021

Bien comprendre la nouvelle démence ou comment intégrer le contexte et la diversité dans la prévention de la démence, avec la conférencière invitée Annette Leibing, Ph. D., anthropologue médicale, professeure titulaire et chercheure à la Faculté des sciences infirmières de l’Université de Montréal. Les recherches actuelles de Mme Leibing portent principalement sur la prévention de la démence dans différents contextes nationaux et sociaux. Elle est aussi co-auteure de Critical perspectives on a new paradigm  of preparing for old age. New York/Oxford: Berghahn, 2020.

Depuis le rapport largement médiatisé du Lancet Commissions datant de 2017, neuf (maintenant douze) facteurs modifiables pourraient réduire les taux d’incidence, voire la prévalence de la démence. Ce webinaire propose une réflexion sur ce message plein d’espoir. Nous discuterons de contextualiser ces facteurs en examinant comment les macro et micro éléments sont liés à cette «nouvelle démence», et ce, dans différents contextes sociétaux. Nous tenterons aussi de voir comment les connaissances des sciences sociales – ici, l’anthropologie médicale – pourraient dialoguer avec des sciences de la santé dites appliquées.

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2 février 2021

Comment puis-je commercialiser mon travail? 

Le 2 février 2021, de 12 h 30 à 13 h 45 (HNE), joignez-vous à notre panel de chercheurs qui partageront avec vous leur cheminement entrepreneurial, les obstacles auxquels ils ont été confrontés et les ressources qu’ils ont trouvées. Ils poseront aussi un regard sur les différences entre le travail académique et celui dans le monde entrepreneurial.

 

 

 

 

Nos panélistes

  • Sultan Darvesh, MD, PhD, FRCPC, professeur de neurologie à l’Université Dalhousie, cofondateur scientifique de Treventis Corporation et membre de l’équipe 4 du CCNV.
  • Etienne De Villers-Sidani, MD, neurologue au Neuro (Institut neurologique de Montréal – Université McGill) et fondateur d’Innodem Neurosciences.
  • Melanie Campbell, PhD, professeure au Département de physique et d’astronomie de l’Université de Waterloo. Mme Campbell a développé un outil de diagnostic qui permet d’identifier la maladie d’Alzheimer bien avant l’apparition des symptômes à l’aide de scans en lumière polarisée.
  • Elyn Lowe,  doctorante à l’Université de la Colombie-Britannique et membre fondatrice du balado A Month in Dementia Research (AMINDR).

Avec Shusmita Rashid, Gestionnaire sénior en mobilisation des connaissances au Centre for Aging + Brain Health Innovation, partenaire du CCNV pour le volet entrepreneurship.

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18 septembre 2020

Comment augmenter la diversité des participants en recherche sur la santé: Revue de littérature et leçons tirées de l’étude ENGAGE, avec Aline Moussard, Ph. D., neuropsychologue spécialisée dans la recherche appliquée liée à l’utilisation de la musique comme outil de stimulation cognitive, chargée de projet au Centre de recherche de l’Institut universitaire de gériatrie de Montréal et coordonnatrice d’un projet de recherche multi-site portant sur la prévention de la démence qui utilise l’entraînement cognitif et les activités de loisirs stimulantes pour construire et renforcer la réserve cognitive des adultes âgés qui sont en bonne santé.

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Il arrive souvent que la recherche dans le domaine de la santé n’obtienne pas des échantillons représentatifs, laissant souvent les groupes les plus vulnérables sous-représentés. Cette situation peut affecter la validité de l’étude et la prive de pouvoir appliquer l’ensemble des résultats à la population entière. Elle prive également les groupes déjà défavorisés de tout avantage lié à la participation aux essais. Basé sur la littérature scientifique et sur les leçons tirées de l’étude interventionnelle ENGAGE, ce webinaire décrira les obstacles individuels, contextuels et culturels liés à la recherche et à la participation des populations sous-représentées à la recherche en santé. Il présentera ensuite des facilitateurs pour le recrutement et la rétention, à la fois en termes de stratégies de recrutement et d’adaptation de la conception de l’étude. Enfin, le webinaire discutera des politiques et des mesures à grande échelle qui pourraient être nécessaires pour mieux résoudre ce problème. Dans l’ensemble, ce webinaire aidera les chercheurs à envisager des moyens d’améliorer l’inclusion et d’accroître la diversité dans leurs échantillons d’étude.

 

7 août 2020

Rencontre improbable : Dre Gillian Einstein rencontre Dr Neil Cashman

Y a-t-il un lien entre le sexe, le genre et les neurosciences moléculaires dans le cadre de la recherche portant sur la démence? Quels pourraient être les liens entre les hormones ovariennes, la mémoire et le mauvais repliement des protéines? Comment ces axes de recherches peuvent-elles bénéficier de l’interdisciplinarité du réseau de chercheurs du CCNV?

Joignez-vous à nous pour une rencontre tout à fait improbable avec Dre Gillian Einstein et Dr Neil Cashman. Ce webinaire sera donné en anglais.

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9 juillet 2020       

Guide pratique : De 0 à 100 dans la recherche sur la démence à distance, avec Dre Megan O’Connell, psychologue et professeur adjoint du programme de psychologie clinique à l’Université de Saskatchewan, .

Durant la pandémie actuelle, nous avons tous eu à modifier nos méthodes de recherche sur la démence, passant vers des technologies virtuelles et à distance. Il s’agit ici d’une ère nouvelle en constante évolution. Megan O’Connell discutera d’une publication du groupe O’Connell, McGilton, Vellani, O’Rourke, & Robertson expliquant comment modifier la recherche sur la démence en personne à distance. Dre O’Connell tissera des liens entre la littérature existante et l’expérience des auteurs pour vous permettre de passer de 0 à 100 en recherche sur la démence.

Revoyez le webinaire (en anglais seulement): .

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